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La corrida encore attaquée . . .

François Patriat, Sénateur de la Côte d’Or / EX LREM) n'ayant pas de sujet plus important à traiter dans son territoire s'est dit :"Pourquoi ne ferais-je pas une proposition loi concernant l’interdiction d’accès aux corridas aux mineurs de moins de 16 ans."

Un autre François, le notre, lui répond :

"Monsieur, je viens ici vous raconter l’histoire d’un petit garçon de 12/13 ans vivant à Béziers dans les années 1970 et qui se distrait au cours du mois d’août à la Feria de sa ville.

La Feria de Béziers des années 1970 est constituée de diverses animations que je cite ici dans le désordre : spectacles de variétés (qu’on appelle maintenant concerts), corso fleuris, défilé d’animaux totémiques accompagnés de musique de rue, concours de pétanque, joutes languedociennes sur le canal du midi, lâchers de taureaux et corridas.

Dans ces années-là, ce jeune garçon, éduqué simplement dans une famille où le père est employé à la SNCF et la mère femme au foyer, vient de passer le mois de Juillet en colonie et se réjouit à l’arrivée du mois d’août et de toutes ces animations qui lui sont proposées dans sa ville.
Ses parents l’amènent au spectacle de Joe Dassin qui se déroule dans les arènes, il découvre des familles qui s’amusent et chantent à tue tête et dans la joie les refrains des chansons simples et entrainantes  de ce fabuleux interprète. Il y découvre un lieu magique qui contribue à la communion du peuple.

Lors des après midi, il peut se rendre seul aux concours de pétanques et de joutes. Ses parents lui faisant confiance, les rues de la ville étant surveillés à l’époque par le respect des uns envers les autres et l’autorité naturelle des anciens. Il se rend aussi, tout en prenant garde, au lâcher de taureaux qui se déroule sur l’avenue Paul Riquet, lieu central de sa ville. Il y découvre les taureaux camarguais qui sont élevés aux portes de la citée."

L'intégralité du courrier en cliquant sur l'icône :

Et hop !!! ça c'est fait . . .

Feu la proposition de loi :

CAFE-TOROS . . .

Des jeunes et des moins jeunes se retrouvent pour parler de leur passion autour d'un thème . . .

Samedi 2 novembre 2024 :

  • 10H30 - Café d'accueil

  • 11H00 - « Perera, la technique et le poder »

  • 11H30 - Discussion - Afición

  • 12H00 - Ouverture du bar et on continue

Béziers, 42èmes Journées taurines  . . .

Remise du prix du meilleur toro de la feria par François notre trésorier qui, comme a chaque fois s'est fendu d'un très beau discours :

"Le Cercle Taurin Biterrois remet cette année, une fois de plus, le prix du meilleur toro à l’élevage Margé, son nom Neptune n° 86.

Il y a l'iconographie de Neptune qui représente le dieu grec des océans, un grand homme barbu avec un trident, peut-être le premier des gardians ?

Et il y a aussi la planète Neptune, j'y reviendrai tout à l'heure.

Passons au toro. Ce toro aura créé la polémique par son indulto, il faut dire que quelques sujets en cette édition 2024 ont contribué à enflammer le débat. Je ne rentrerai pas dans les querelles qui me dépassent et qui ne me passionnent vraiment pas.

Nous remettons ici le prix à un toro et pas à une grâce. Pour justifier ce choix, passons donc aux chiffres, les mathématiques au service de la tauromachie, pourquoi pas ? Neptune a pris 2 piques fortes, la première avec une mise en suerte aléatoire et la seconde en accourant de près de 12 mètres. Il a causé panique aux banderilles, le président accordant prématurément mais sagement le changement avec 3 seules banderilles sur le dos. Il faut souligner que la faena, faite par un vent très gênant a peut-être estompé l’étincelle, la « chispa» manquante à ce toro.


Cette faena est composée de 14 séries avec 83 passes de muleta. Il y a eu 3 phases dans cette faena. La première en laissant sa chance au toro, la seconde en essayant de tirer un maximum du toro et la dernière plus artistique où quelques naturelles ont couronné le travail. Le toro a chargé tête basse, quelquefois le museau ensablé. Il faut reconnaitre que des toros comme cela, on en demande tous les après-midis.


La planète Neptune, nom donné à ce toro, n'est aucunement visible à l'œil nu à partir de notre terre, il en aura été de même pour ce toro masqué par le tumulte. Les faits et rien que les faits relatés ci-dessus au travers du regard non pas d'une lunette d'astronome mais de l’enregistrement des caméras de One Toro et visionné en replay fondent l’attribution de ce prix mérité.
Un mot Robert sur ce prix, nous sommes restés fidèle à la création de Quentin Revilla, Revilla comme le toro indulté et primé en 2023, il n'est pas là ce soir car il expose à Paris pour la deuxième fois cette saison c'est maintenant un artiste reconnu, il a exposé cette année à Marbella pour la réouverture des arènes et dernièrement à Séville au cours de la San Miguel, il est demandé aussi dans la France taurine comme St Sever dernièrement. Nous avons bien de la chance d’avoir des références taurines en nos terres, Revilla comme artiste, Sébastien comme matador, et les Margé comme éleveurs, à l’Aficion biterroise d’essayer de se hisser à vos niveaux.


Je suis très heureux de t'offrir cette encre de chine sur papier artisanal au nom du Cercle Taurin Biterrois. Bravo Neptune, bravo à vos toros."

F. Capillaire.

Béziers, Feria 2024 . . .

Annulée

13 juillet 2024 . . . le CTB aux couleurs de Pamplona . . .

Aujourd'hui 14 juillet, jour de notre fête nationale. Il me vient une expression employée par le politique "faire nation". Il aurait pu être dit d'autres mots comme " travailler ensemble ", " construire le futur", ou " avancer unis". Bien plus simples et plus compréhensibles.
C'est ce que nous avons fait hier au CTB.
Quelle joie que de voir notre vétéran participer activement à la cuisson des viandes, quelle fierté de voir une jeune fille de 20 ans, ranger minutieusement un billet dans la caisse. Quel honneur de pouvoir participer à cette belle journée organisée dans notre magnifique espace qu'est le CTB.
Merci à celui qui a osé pousser la porte pour partager un moment avec nous, merci à celle qui m'a soutenu en s'occupant de la logistique, merci à celui avec qui j'ai eu l'idée de cette journée et qui a travaillé sans relâche, merci au grilladin qui s'est parfumé de l'odeur du graillon, merci de la disponibilité d'un être hors du commun qui a donné tant et prêté une TV, merci à ce petit bout de femme qui a su avec un toupet exceptionnel mettre de l'ordre auprès de trop bruyants et extravagants noceurs. Merci à tous, de rouge et blanc vêtus, d'être venus participer à ce moment d'échange et de fête autour de notre passion, le toro. Et aussi un grand merci à tous ceux qui ont eu une pensée pour nous en ce jour et qui n'ont pas pu ou su venir faire communion, sachez que vous nous avez manqué et que nous vous attendons l'an prochain.

 

François Capillaire

Trésorier du CTB.
 

Toutes les photos, merci Sandrine, de cette belle journée en cliquant ici.

Toros y Campo, ACTE VIII 2024 . . .

Alejandro Chicharro bléssé est remplacé par notre torero biterrois Clemente Jaume, les photos en ici.

CTB, un toro de Blohorn pour Carlos Olsina . . .

C'est chez Roland Durand au Mas du vieux Capeau près de Arles que Carlos Olsina a pu préparer son début de saison face à un beau novillo de Blohorn que le CTB lui a offert.

Même s'il était initialement prévu un toro, ce novillo, bien présenté nous a vite fait oublier son âge tant il était vif et répondait bien aux demandes d'un Carlos Olsina inspiré. Sans avoir à craindre le son des clarines Charles nous a servi de belles séries ravissant les aficionados ayant fait le déplacement, le beau temps était au rendez-vous et le vent nous a gratifié de son absence, que demander de plus. Un casse-croûte campero s'en est suivi, partagé par Charles qui a pu répondre aux questions des uns et des autres.

Cette journée si bien commencée s'est terminée dans nos locaux pour assister à la corrida de Victorino Martin retransmise depuis Seville.

Vous pourrez trouver l'intégralité des photos en cliquant ici.

Les photos "taurines" en cliquant ici.

Les photos "bonus" en cliquant ici.

Feria de Béziers 2023 . . .

La corrida gagne par forfait . . .

. . . restons vigilants ! ! !

Ne touchez pas à la corrida . . .

Projet de loi, texte officiel, issu du site de l'assemblée Nationale, visant à faire interdire la corrida, cliquez ici pour y accéder . . .

Motion pour le d
roit à la liberté culturelle déposée à la préfecture de Béziers
Cliquez ici pour lire le mail . . .

Mail du CTB envoyé aux députés de tous bords
Cliquez ici pour lire le mail . . .

Communiqué de de la
Fédération des Clubs Taurins du Biterrois
Cliquez ici pour lire le communiqué . . .

Communiqué de l'U
nion des Villes Taurines de France
Cliquez ici pour lire le communiqué . . .

Article dans le JDD de l'Union de la Jeunesse Taurine Française
Cliquez ici pour lire le communiqué . . .

20 raisons de ne pas interdire la corrida

Cliquez ici pour lire le communiqué . . .

Intervention d'André Viard devant la coordination
Cliquez ici pour lire le communiqué . . .

Raoul Bayou doit se retourner dans sa tombe . . .

40 èmes journées taurines . . .

Présentation des 40èmes Journées Taurines au Cercle Taurin Biterrois par Hugues Bousquet.

Les clubs taurins du biterrois ont désigné les triomphateurs de la dernière feria de Béziers, les prix seront remis le samedi 22 octobre 2022 lors de la soirée du Grand Gala des "40 èmes Journées taurines" .

Les Journées Taurines en photo :

Journ aux arènes, cliquez ici . . .

Soirée de gala à Zinga Zanga, cliquez ici . . .

Lettre de la Fédération des Sociétés Taurines de France . . .

Chers amis aficionados, 

suite aux États Généraux des Tauromachies, au terme de plusieurs mois d'un travail collectif, la FSTF a adressé à l'UVTF, seule décisionnaire en la matière, un projet de révision du Règlement Taurin Municipal Français qu'elle lui avait commandé.

En l’absence à ce jour de réponse de l’UVTF nous rendons publiques nos propositions.
Le règlement, qui fixe les conditions de son déroulement, est un des fondements majeurs de la corrida. Au nom d’intérêts mercantiles il est aujourd’hui malheureusement trop souvent bafoué, sans qu’interviennent les instances chargées de le faire respecter. En même temps depuis ses débuts la corrida a toujours évolué et avec elle les règlements. Il était temps de toiletter l’actuel et d’approfondir plusieurs axes avec un but majeur, garantir une corrida éthique et authentique. Faute de quoi celle-ci disparaîtra en en se transformant en un spectacle purement commercial sans émotion.

Voici quelques un des axes du nouveau règlement que nous proposons :

  • affirmation dès son préambule de l’éthique comme élément consubstantiel de tout spectacle taurin,

  • insertion des dimensions et cotes de tous les instruments utilisés dans chaque type de spectacle, notamment les piques,

  • amélioration du statut des présidences, formation et indépendance,

  • défense des droits des spectateurs,

  • extension de l’application des dispositions de ce règlement à l’ensemble des professionnels et à la totalité des villes taurines.

Les liens suivants vous donneront accès à deux versions du document: 
- le RTMF révisé selon nos propositions :  
https://drive.google.com/file/d/13eaWYt8HNh6XsAHhuG7dwrOHFI0iA99G/view?usp=sharing
- une version comparée au RTMF en vigueur tel qu’il est affiché sur le site de l'UVTF: https://drive.google.com/file/d/14VuTQFKJtjXbWfEH2qrf864ws21QubJ4/view?usp=sharing 

Il ne reste plus qu’à former le vœu de voir l’UVTF partager l’analyse et accepter les propositions de l’afición qui aura fait sa part de travail.
Avec  nos remerciements pour vos contributions, conseils et avis,
Salutations taurines et amicales
Dominique Valmary

Communiqué de Bernard Mula Président de la Fédération des Clubs Taurins du Biterrois :

 

21 JUILLET 2022 - RASSEMBLEMENT

« BÉZIERS VILLE DE CULTURE TAURINE »

"Avec accord de la sous-préfecture, la Fédération des Clubs Taurins du Biterrois appelle les aficionadas et aficionados et leurs amis à un rassemblement jeudi 21 juillet à partir de 17 heures 15 (fin à 19h15) sur le coté droit du parvis de l’Hôtel de Ville de Béziers… afin de montrer aux médias présents que « Béziers est bien une ville taurine ». 

Ce rassemblement se tiendra alors que douze cyclistes italiens (!) et consorts anti-corridas du « basta corrida vegan tour » termineront sur cette place leur périple dans notre cité. Ainsi l’aficion montrera, comme en aout 2019 derrière notre grande banderole, et à quelques jours de la feria de Béziers, son attachement à la tauromachie qui imprègne la culture biterroise depuis les années 1850. Cet attachement étant confirmé par le sondage récent de Sud Radio indiquant que 71 % des habitants des villes taurines sont pour le maintien de la corrida dans leurs villes… et 68 % des habitants des dites villes sont contre une interdiction totale de la corrida en France…

Alors : « Aqui ! Aqui ! Es Béziers ! Corrida restera ! »

Appel reçu cinq sur cinq . . .
(Texte et photo site "Lo Taure Roge")

Il faisait très chaud sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Béziers en ce jeudi 21 juillet 2022. Il s’agissait de montrer, à la vingtaine d'anti-corrida accourus des quatre coins de la région et particulièrement d'Italie, et surtout à la presse, qu'ils étaient en terre de culture taurine.

Pour cela, pas loin de quatre-vingt aficionadas et aficionados avaient répondu symboliquement présent à l'appel de la Fédération des Clubs Taurins du Biterrois. À noter que R. Ménard, maire de Béziers, et D. Bresson, maire de Cers, M. Hérail, nouveau président de la CTEM de Béziers, sont venus saluer les aficionados et sont restés présents durant tout le rassemblement... Difficile aux "orateurs",  n'appréciant pas "Aqui, aqui, aqui es Béziers" "viva ! viva ! viva la corrida" et autres "Olé ! Olé !" de contenir leur colère...  La même colère qui les a saisi à la lecture du sondage de juin 2022 diffusé par Sud Radio sur l'implantation de la tauromachie chez les habitants des villes taurines.
Il faudra - au plan national - qu’ils s’habituent et qu’ils se mettent dans la tête la phrase de l’aficionado et écrivain Albert Camus, membre du Club taurin de Paris : "La démocratie, ce n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité". Cette minorité culturelle – l’Aficion - n'est pas celle qui opprime, qui mutile, des femmes, des enfants ou des hommes dans l’impossibilité de se défendre, au nom d'une tradition religieuse, ancestrale, historique…

 

L'Aficion biterroise fait sienne la "Charte pour les libertés et la diversité des cultures" . Son texte est clair : « Dans un monde qui se globalise au risque de provoquer la disparition de nombreuses cultures minoritaires, il est indispensable de rappeler - comme les États membres s'y sont engagés par les conventions de l’Unesco de 2003 et de 2005 sur la protection et la promotion des patrimoines culturels immatériels et de la diversité des expressions cultuelles – que celles-ci, tant qu’elles ne portent pas atteinte aux droits de l’homme, doivent être respectées et pouvoir se transmettre en toute liberté.

Les différentes formes de chasse, de pêche, de tauromachie, les arts et pratiques de l’agriculture, de la viticulture, de l’élevage, de la gastronomie ainsi que les manifestations folkloriques, sportives et culturelles, la valorisation et la transmission de la langue occitane du Languedoc participent de cet Esprit du Sud qui repose sur un patrimoine ancestral amplement partagé par nos régions et qu’il appartient à l’État de préserver. »

À nous de rester attentifs et vigilants pour défendre notre liberté et cultures ! 

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Ecoles Taurines . . .

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Ecole Taurine Béziers Méditerranée . . .

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Les jeunes de l'école taurine de Béziers s'étaient donnés rendez-vous à Bessan chez Daniel Lopez, ex manade Castella, pour quelques travaux pratiques.

Christian Parejo était du déplacement et a su tirer quelques jolies passes aux pensionnaires des lieux.

 

Pour les curieux vous pourrez découvrir les photos ici.

Journées Taurines - Béziers 2021 . . .

Les "Journées taurines" en quelques images . . .

La soirée de gala c'est ici.

L'intégralité de la journée du 24 aux arènes c'est ici.

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Lettre ouverte à Madame Aurore Bergé,
députée et porte-parole du groupe « La République en Marche ».

Chère Mme Bergé. Je vous adresse ces quelques lignes avec autant de respect que de colère
après avoir pris connaissance de votre aberrante proposition d’interdire, en France, l’entrée
des mineurs aux corridas. Vous donnez des leçons à propos de culture et ce n’est pas à
moi « simple » torero de le faire. Ce qui m’en empêche ? En premier lieu le respect, celui que vous nous refusez, que vous refusez à ceux qui ont voué leur vie à la tauromachie, à ceux qui ont choisi, en toute liberté, d’apprécier cette manifestation culturelle, au grand nombre d’artistes et d’acteurs culturels qui ont trouvé dans la tauromachie une source d’inspiration pour leurs œuvres. Sans doute vous ne saisissez pas l’art de la tauromachie… C’est d’autant plus dommage que, députée, vous assumez la charge des affaires de l’éducation et de la culture où l’on remarque votre particulière sollicitude pour le cinéma, passion que nous avons en commun. Cependant, même si vous n’êtes pas sensible à toutes les cultures, je veux croire que, comme véritable française, vous êtes profondément attachée à la devise Liberté, Égalité, Fraternité que nous portons bien haut. Donc, en tant que citoyen français, je revendique la liberté. Liberté de penser, liberté de choisir mon travail et mes goûts et, surtout, liberté de choisir quelle éducation je dois donner à mes filles. Alors, vraiment, dans le berceau de la liberté et comme porte-voix d’un parti qui la prône vous voulez enlever aux parents celle d’éduquer librement leurs enfants ? Vous voulez, d’un coup de plume, éliminer
cette liberté pour laquelle vos propres parents se sont battus en mai 68 ? Oui je dis éduquer. Parce que, pour ce qui me concerne, la tauromachie a été une école de la vie et une éducation. Assurément, madame Bergé, ma vie n’a pas été un chemin bordé de roses. Et tandis que d’autres enfants rêvent d’être footballeurs ou astronautes ou comme le personnage de Sylvester Stallone que votre propre père a doublé dans la version française du film, pour moi, mon salut fut de ressembler aux toreros considérés comme des super héros vêtus de lumières.

Parce que, dans ce chemin pour me trouver et devenir également ce super héros, j’ai acquis des valeurs, je me suis éduqué, je me suis cultivé, je me suis discipliné et j’ai rencontré des personnes magiques dans tous les domaines, de la littérature à la peinture, en passant par la photographie, le cinéma, le sport et la politique. Savez-vous, madame Bergé, combien de gamins ont été sauvés de l’exclusion sociale et de la délinquance dans les écoles taurines de Nîmes, Arles, Béziers pour ne citer que celles-là ? Vous dites que les enfants ne peuvent assister à la corrida parce qu’on y voit la mort en vrai. Je vous conseille, en toute humilité, la lecture brève mais intense de « Cinquante raisons de défendre la corrida » de notre compatriote Francis Wolf. Il y parle de la tauromachie comme école du respect. Il y évoque aussi le soi-disant « trauma » dont seraient victimes les enfants présents à une corrida. Et bien « n’importe quoi peut traumatiser un enfant. En particulier la violence muette, aveugle et absurde, à laquelle on ne peut donner ni sens ni raison. » Ce n’est pas moi qui l’affirme. C’est monsieur Wolf, philosophe réputé, professeur émérite à l’école Normale Supérieure de la rue d’ Ulm.
La violence dépourvue de sens et de raison c’est, par exemple, celle à quoi les enfants sont exposés sur les réseaux sociaux grâce aux portables qu’ils manipulent mieux que moi et peut-être mieux que vous. Va-t-on interdire les réseaux sociaux ? La loi va-t-elle y exiger un contrôle parental ? Non, à l’évidence. Attaquer la tauromachie est politiquement plus correct. Et plus rentable. Ce que, sans doute, vous pensez. Mme Bergé vous sautez dans l’arène de la polémique pour tirer un revenu politique de la présence de deux ministres aux arènes de Bayonne. Permettez qu’on fasse de la politique vraie et, bien qu’ils ne soient pas de votre parti, parlez avec eux. Demandez leur combien ils ont vu d’enfants sur les gradins
et autour des arènes. Inutile de les compter. Ils n’auraient pas pu. Je vous assure qu’il y en avait des centaines. Et, savez vous ? Ce sont des enfants comme les autres. À la rentrée des classes ils iront au collège, ils joueront avec leurs amis, ils étudieront, ils feront leurs blagues, ils renâcleront pour faire leurs devoirs et rêveront éveillés sur leur futur d’adulte. Un, qui sait ?pensera à devenir torero. Ou pas. Seul le temps le dira. Mais, Mme Bergé, vous n’êtes pas quelqu’un à vous opposer à l’avenir. Ne soyez pas complice de ce crime culturel qui veut faire disparaitre ce qui est différent. Soyez libre. Et, si vous ne le pouvez pas, ce que, croyez moi, je peux comprendre, laissez les autres l’être.

 

Bien à vous, Sébastien Castella

Torero

Lettres piégées  milieu taurin

Le parquet de Nîmes a annoncé hier que les deux prévenus comparaîtront le  26 juin devant le tribunal correctionnel pour "violences et blessures volontaires avec préméditation, en réunion et avec armes". Inconnus de la justice, ils encourent 10 ans de prison. Le parquet a réclamé mercredi soir un contrôle judiciaire à leur encontre.

Une Castelsarrasinoise âgée d'une quarantaine d'années et son complice originaire, lui, de l'Hérault, ont été arrêtés et ont reconnu être à l'origine de l'envoi l'an dernier de lettres piégées avec des lames de cutter à des défenseurs de la tauromachie.

Quelque 25 personnes liées au monde de la tauromachie avaient reçu dans plusieurs régions de France une cinquantaine de lettres piégées à l'intérieur desquelles se trouvaient des cartes postales et des lames de cutter. Parmi les personnalités visées, figuraient André Cabannes, le président du club taurin de Vic-Fezensac dans le Gers, Simon Casas, directeur des arènes de Nîmes et Madrid ou encore l'Arlésien Jean-Baptiste Jalabert, qui gère les arènes d'Arles (Bouches-du-Rhône) et est plus connu sous son nom de torero, Juan Bautista. Le trésorier de l'Observatoire national des cultures taurines, association de défense de la tauromachie basée à Arles, avait lui été blessé aux doigts en ouvrant une des lettres. Le Président du CTB et moi même avions également  moi été destinataires d'une telle lettre.

Après plusieurs mois de travail, les enquêteurs ont réussi à identifier et à interpeller les deux auteurs de ces courriers piégés. Il s'agit d'une femme, originaire de Castelsarrasin, dans le Tarn-et-Garonne et d'un homme qui vit à Villeneuve-les-Maguelone (Hérault), près de Montpellier. Tous deux sont âgés d'une quarantaine d'années et se connaissaient pour fréquenter des structures opposées à la corrida sans être militants dans une organisation particulière. 

"Ils ont reconnu les faits, monsieur très rapidement, elle plus difficilement, a précisé le procureur adjoint de Nîmes Stanislas Valat lors d'une conférence de presse. Ils ne supportent pas les tortures infligées aux animaux ont-ils dit pendant leurs gardes à vue pour justifier cet envoi de lettres piégées. Ils voulaient blesser en mettant une lame de cutter dans les courriers".

Pour résoudre cette affaire, les enquêteurs sont parvenus à identifier le vendeur des cartes postales, puis, indirectement à remonter jusqu'aux suspects dont les ADN correspondent à ceux retrouvés sur des lames et cutter et des timbres postaux. L'enquête, centralisée au parquet de Nîmes, avait été confiée au groupement de gendarmerie du Gard et à la section de recherche de la ville.

(Source ladepeche.fr)

Après l'enquête, la justice rend son verdict . . .

« Après une enquête minutieuse qui a permis d’identifier deux expéditeurs de courriers piégés adressés a des personnalités du monde taurin en février 2017, GB et CM comparaissaient le 26 juin 2018 devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour violences avec armes.
Le premier, reconnu coupable à l’égard de sept parties civiles, écope d’une peine de 10 mois d’emprisonnement assortie d’un sursis mise à l’épreuve pendant trois ans avec l’obligation d’indemniser les parties civiles et l’interdiction de se trouver dans une ville taurine les jours de corrida.
La seconde a quant à elle été condamnée à la peine de trois mois de prison avec sursis simple et une amende de 300 €.
Les moyens mis en œuvre pour identifier les auteurs de ces violences envers le monde taurin et les condamnations exemplaires qui leur ont été infligées par le tribunal correctionnel de Nîmes reflètent  la prise en considération par l’autorité judiciaire du caractère particulièrement dangereux de la mouvance animaliste extrémiste.

PS : GB n’est autre que celui qui, sous le pseudonyme de Jordan Servan, avait fait irruption en piste lors d’une novillada de Miura à Carcassonne et avait été condamné précédemment pour entrave à la circulation après avoir bloqué un camion de toros qui se rendait aux arènes de Nîmes. Il était également à l’origine de diverses autres attaques : peinture rouge sur Andy Cartagena à Palavas, clous sur la piste de Béziers, tentatives de lâcher des toros depuis les corrales d’Arles… mais faute de plainte ou d’enquêtes, il n’avait jamais été sérieusement condamné. »

Maître Ludovic Para

Ainsi que le monde taurin français s’y était engagé lors des « Rencontres Animal et Société » organisées en 2008, et conformément à la Fiche d’Inventaire ayant abouti à l’inscription de la Tauromachie au Patrimoine Culturel Immatériel Français, le Guide Éthique des Pratiques Éco-Responsables de l’Élevage du taureau en France est aujourd’hui une réalité.

Grâce à l’implication du secteur dans son ensemble, des professionnels de l’élevage, des vétérinaires, et sous l’égide de l’Observatoire National des Cultures Taurines, de l’Union des Villes Taurines Françaises et du Parc régional de Camargue, ce guide a pour but de montrer les valeurs éthiques, écologiques, environnementales et économiques d’un élevage.

De nombreuses contrevérités ont été formulées en raison de sa spécificité et du mystère qui l’entoure, bien qu’il aille au-delà des critères du bien-être animal : dans les élevages de taureaux de combat ou de jeu, l’animal, admiré pour sa bravoure et sa puissance, est depuis toujours l’objet d’une véritable vénération.

 

Guide éthique (accès au document complet)

La France taurine a la chance d'avoir pour témoin l'Association Française des Vétérinaires Taurins dont les experts effectuent un travail essentiel et remarquable ; qu'ils en soient ici remerciés.
Une de leurs compétences intéresse particulièrement notre Fédération en ce qu'elle contribue à préserver l'intégrité du taureau de combat. Ainsi depuis 20 ans les vétérinaires taurins effectuent des prélèvements de cornes dans les arènes de première catégorie selon le protocole défini par l'Union des Villes Taurines de France. Initiative heureuse et appréciable : une étude statistique devrait être engagée sur cette longue période afin d'exploiter les données recensées et, espérons-le, de confirmer l'impression ressentie par les vétérinaires selon laquelle la situation s'est progressivement assainie avec le temps. Nous voudrions bien le constater aussi, nous en attendrons la publication avec intérêt, gourmandise et prudence.

Chaque année, donc, les cornes prélevées de manière aléatoire sont analysées et mesurées, l'expertise établissant les écarts avec la norme définie et communément admise. Ces résultats sont la propriété de l'UVTF qui, selon le Règlement Taurin Municipal, les communique ensuite aux villes taurines, aux éleveurs et aux associations d'éleveurs concernés. L'initiative appartient ensuite au Maire de formuler une éventuelle demande de sanction après consultation de la Commission Taurine Extra-Municipale. Demeurent cependant les situations particulières qui ne respectent pas le cadre. Á ce titre la présentation inadmissible des taureaux vendus en juillet 2017 par Miura à Céret nous fournit l'occasion d'évoquer le sujet en toute transparence. En effet, l'ADAC, qui n'y est pas tenue, fait l'effort de faire expertiser le bétail combattu selon ledit protocole. Ainsi a-t-elle publié de sa propre initiative les résultats non équivoques établissant que 5 taureaux sur 6 étaient non conformes.

Certes le règlement prévoit des sanctions, mais la solution n'est pas que là. En effet, de telles décisions ne peuvent être que velléitaires avec des effets trop incertains. Elles existent, c'est bien, mais c'est insuffisant ! Il faut aller plus loin. La force incontestable de ce travail doit être exploitée différemment et optimisée. Il faut que chaque année soit publiée l'expertise de l'ensemble des taureaux prélevés dans les arènes françaises. C'est à ce prix que les professionnels, toreros, apoderados, éleveurs et organisateurs sauront qu'en France la vigilance est bien réelle et permanente ; pour ce qui les concerne les aficionados sauront toujours agir en fonction de leurs intérêts et surtout de l'exigence qu'ils attachent à voir combattre des animaux à l'intégrité préservée… Le traitement des cas punissables ne suffit pas, l'état général de tous les taureaux doit être garanti à celui qui paye, à savoir le public !

La solution passe donc par la transparence et la communication. La pression qui en résultera ne peut qu'amener les professionnels à tendre vers un plus grand respect de l'aficion qui... les fait vivre. Il est évident que l'UVTF tirerait bénéfice de la publication régulière des expertises, cela se pratiquait il y a encore quelques années. Elle tirerait aussi d'autres avantages en encourageant les arènes de deuxième et troisième catégorie qui le souhaiteraient à pratiquer elles aussi des prélèvements de cornes.

La vigilance doit rester de mise, la valorisation de ce travail incontestable doit être amplifiée, c'est le sens de la demande que nous formulons auprès de l'UVTF pour qu'elle reprenne la publication des expertises.

Dominique VALMARY - Président de la FSTF

La Feria de Villa de Alvarez se déroulera les 13 et 20 février prochains.

C'est la 162ème fois que les arènes seront montées . . .pour être démontées.

" ¡ Viva la fiesta brava ! "

Cliquez sur l'image pour visionner la vidéo promotionnelle de la Feria de Invierno de Madrid 2018 qui se déroulera les  17 et 18 février au Palacio Vistalegre.  102 secondes ou Victorino fils narre l'histoire et le rêve de son père Victorino Martín Andrés.

Première victoire judiciaire . . .
Doña Rocío Cortizo Pires qui avait tenu des propos plus que déplacés après la mort du torero Victor Barrio Hernanz dans les arènes de Teruel le 9 juillet 2016 a été condamnée, elle devra faire des excuses et indemniser la famille.
Voici ci-dessous le texte qu'elle devra publier sur son profil Facebook : 
“Yo, Doña Rocío Cortizo Pires, por medio del presente comunicado vengo a realizar expresa y pública rectificación del mensaje publicado con fecha 13 de julio de 2016 en la red social Facebook donde manifesté “Pues yo soy una que apoyo la muerte de todos los toreros y aquellos que los defienden…eso no son humanos son basura…por lo cual exterminio. A quién le guste bien y a quien no tmb yo de hipócrita no tengo ni el blanco de los ojos y de inhumana menos ya que esos no son humanos…no se ni como podéis lamentaros por unos asesinos en serie.” Pues bien, es evidente que tal manifestación supone un grave atentado al honor de todos los toreros y, especialmente, de Don Víctor Barrio Hernanz, motivo por el cual corrijo y lamento públicamente este mensaje. Manifestando mi pesar y solicitando el perdón por haber causado con ello un agravio directo al honor y labor profesional, tanto de la persona, como a la familia de Don Víctor Barrio Hernanz. Siendo que tales expresiones no fueron afortunadas y no debieron utilizarse, me desdigo de las mismas y lamento profundamente los daños que he podido ocasionar. Así las cosas, y por la intromisión ilegítima en el derecho al honor de Don Víctor Barrio y de su familia, me comprometo a indemnizar a la familia del torero fallecido como modo de reparación del daño ocasionado”.

Ne pas tuer les toros ou comment tuer la corrida . . .

Par Thierry Reboul - 14 janvier 2018

Le monde taurin s’agite autour du dessin animé Ferdinand pur produit de  la secte animaliste Walt Disney. Débat inutile, les gens sont assez intelligents pour comprendre et faire la différence entre un cartoon et la réalité, du moins je l’espère. J’ai vu, il y a quelques décennies, un film, « les clameurs se sont tues ». Le scénario raconte l’histoire d’un toro élevé par un jeune garçon. Le gamin fait tout pour qu’il ne soit pas envoyé aux arènes ; Le bicho est finalement gracié parce que bravissime et avec l’appui du président de la république mexicaine. J’avais sept ou huit ans à l’époque et tout ce que j’ai retenu du film, et qui m’a fait vibrer, c’est la faena, filmée quasiment en intégralité ; de Rivera. Accès à l'article complet ici.

L'édito de Dominique Valmary décembre 2017

« L'affaire de Céret » vient de franchir une étape déterminante avec la publication par l'organisateur de l'expertise relative aux prélèvements effectués par les vétérinaires selon la procédure définie par l'Union des Villes Taurines de France. Ainsi, à la demande de l'ADAC qui n'y est pas contrainte par le Règlement Taurin Municipal Français, les douze cornes des taureaux de Miura combattus à Céret le 14 juillet dernier ont été examinées et analysées.Les résultats établissent sans ambiguïté que les mesures ne sont pas du tout conformes pour cinq des six sujets expertisés. Ceci étant, il est vraisemblable qu'il ne s'agit pas d'afeitado mais que les causes sont à chercher dans la réparation des dégâts causés aux cornes au cours de la vie des taureaux au campo. Certes, mais ce niveau d'imperfection rendait le lot impropre à la corrida formelle.

Le problème que nous avons soulevé ne relève pas des conséquences inhérentes à l'élevage extensif d'un animal duquel sont exigées caste et bravoure et qui sont compréhensibles. Non, les questions que nous nous sommes posées relèvent de l'éthique, en particulier l'intégrité du taureau, la qualité de la présentation et le non respect du protocole français qui pourtant dans sa magnanimité tolère de manière contenue l'arreglage et convient d'une tolérance favorable aux éleveurs. 

Tirer des conclusions du contrat commercial dont nous n'avons pas connaissance et de son exécution n'est pas de notre responsabilité non plus que d'arbitrer entre des interprétations divergentes. Les constatations de l'expertise et les explications données suffisent pour que chacun se fasse sa propre opinion. Quoiqu'il en soit cela aura été un rendez-vous manqué ; dommage !

Notre démarche auprès de Miura n'aura pas été inutile, elle a permis une prise de conscience, d'aller plus loin que les simples ressentis et de connaître, au moins, la pratique de cette maison en matière de fundas : selon les ganaderos l'usage de ces protections est très exceptionnel chez les cuatreños et sélective auprès des cinqueños les plus violents. Ce sont des étuis ouverts et courts (une dizaine de centimètres) posés sur la pointe de la corne et qui selon leurs dires sont retirés six ou sept jours avant l'embarquement. 

Alors que retenir de ces avatars :
     - que l'analyse des cornes est un atout dissuasif et coercitif efficace destiné à promouvoir l'intégrité du taureau,
       - que la vigilance des organisateurs doit être permanente,
      - que les éleveurs doivent mesurer l'intérêt majeur qui est le leur de présenter du bétail de qualité, quelle que soit la catégorie de l'arène.
Mais surtout, que, à minima, tous les résultats de l'expertise doivent être publiés par le garant de l'application du RTMF ainsi que cela se pratiquait précédemment.

C'est ce que nous attendons de l'Union des Villes Taurines de France. Il en va du respect de l'aficionado, ce cochon de payeur !

Eléments complémentaires à consulter:

http://www.ceret-de-toros.com/analyse-cornes-ceret-de-toros-2017/


http://www.ceret-de-toros.com/wp-content/uploads/2017/12/Rapport-officiel-de-la-mission-dexpertise.pdf

Les arènes de Béziers prennent un nouveau virage. En effet, Simon Casas rejoint Robert Margé pour leur gestion. Un accord entre les deux parties a été trouvé, le producteur français agrandit ainsi son éventail. Simon Casas gère déjà les arènes de Madrid, Valencia, Zaragoza et Alicante en Espagne. Béziers venant s’ajouter à Nîmes pour la France.

Robert Margé gérait seul les arènes de Béziers depuis plus de vingt-cinq ans.

 

Souhaitons que cette association se ressente au niveau des spectacles proposés, les aficionados que nous sommes n'en attendent pas moins.

Sébastien Castella est parvenu à un accord d’apoderamiento avec Simon Casas pour diriger sa carrière une fois que sa temporada américaine sera terminée. 
Castella sera l’unique matador de toros qui sera apodéré par Casas en 2018. Ainsi, le producteur se centrera en tant qu’apoderado sur la carrière de la première figura française du toreo.

Le torero de Béziers se montre enthousiaste à l’idée de cette nouvelle étape: “Simon est beaucoup plus qu’un empresario et apoderado: c’est un homme créatif qui mise fort et en ce sens nous regardons tous les deux dans la même direction”.

Absent à l'audience, le jeune militant a été jugé vendredi 6 octobre au matin à Carcassonne. Il avait tagué des slogans anti-corrida sur plusieurs bâtiments de la ville.

Plus de 30 000 € et quatre mois de prison avec sursis, c'est la peine à laquelle un homme de 28 ans a été condamné dimanche, au tribunal correctionnel de Carcassonne, pour avoir griffonné des tags sur plusieurs bâtiments de la ville. "Corrida basta, justice pour les animaux, abolition", sont quelques-unes des inscriptions qui s'étalent sur les murs de la ville depuis quelques mois.

Un homme vêtu d'un treillis

Depuis janvier 2016, plusieurs plaintes avaient déjà été déposées, notamment après des inscriptions sur les remparts de la Cité médiévale durant l'été 2016, mais ce n'est que le 9 mars dernier que les forces de l'ordre ont interpellé leur auteur. Alors qu'ils patrouillaient dans le centre-ville, les policiers aperçoivent sur un mur du boulevard Omer-Sarraut, l'inscription "Corrida la honte", qui semble fraîche.
À proximité, un homme vêtu d'un treillis, a l'air de vouloir dissimuler quelque chose dans les poches de son pantalon. Il est interpellé avec des bombes de peinture, et explique aux policiers qu'il est l'auteur de nombreux tags dans toute la ville. À cette occasion, il indique qu'il tague ces inscriptions uniquement pour défendre la cause animale, et qu'il n'appartient à aucun mouvement. Quelques semaines plus tard, le 24 avril dernier, il se présente au commissariat de son propre chef, pour indiquer aux policiers qu'il vient à nouveau de taguer, la façade de la mairie notamment.

"Pas un des murs n'a été épargné"

"Qu'on soit pour ou contre la corrida, elle est autorisée par la loi, ce qui n'est pas le cas des graffitis", a souligné l'avocat représentant de la Ville à l'audience, qui s'est par ailleurs déroulée en l'absence du prévenu. La mairie de Carcassonne, listant tous les tags qu'elle a dû faire effacer des murs de la commune a fait savoir qu'elle avait subi un préjudice financier de près de 9 000 €.
Un préjudice d'image qu'ont également subi les Arènes du Grand Sud, selon leur avocat : "Pas un des murs n'a été épargné. De telles inscriptions dissuadent les gens de venir", a souligné Me Alberti. De son côté le procureur de la République Éric Lapeyre, a souligné l'absence du prévenu à la barre : "Il aurait dû aller au bout de ses revendications et venir s'expliquer. Dans une société civilisée, on a suffisamment de moyens de s'exprimer sans avoir à dégrader. Ce n'est pas tolérable", a-t-il martelé, avant de requérir quatre mois de prison avec sursis à l'encontre du tagueur.

Une réquisition sur laquelle s'est aligné le tribunal. Mais l'anti corrida devra également s'acquitter du remboursement des frais engagés par les propriétaires des murs qu'il a tagué : 12 000 € pour la Cité médiévale, 1 658 € pour les Arènes du Grand Sud et 1 744 pour leur propriétaire, 9 352 € pour la mairie de Carcassonne, et 6 006 € pour la Maison des collectivités. Il devra en outre verser 500 € aux Arènes du Grand Sud et à leur propriétaire pour le préjudice d'image.

(SOURCE : L'INDÉPENDANT) 

Feria de Béziers 2017 - Communiqué de la FCTB

 

 

 

 

 

 

 

 

Féria 2017, BILAN

Réunis pour préparer les journées taurines d’octobre, les clubs taurins affiliés à la fédération ont en préambule analysé le bilan de la féria, ce qui a entrainé un débat animé et passionné. Si la faillite du bétail a été mise en avant sur les corridas, nombreux sont ceux qui ont déploré les manquements au règlement notamment sur la première (Cuvillo), en effet le règlement biterrois impose deux oreilles sur le même toro pour ouvrir la grande porte, et lors de la quatrième (Miura), le climat délétère qui a régné entre le torero (Juan Bautista) et le palco. Les clubs ont aussi fait remonter le fait qu’un président ne doit pas servir de fusible pour excuser la défection du spectacle. La faible fréquentation a aussi été évoquée et l’antienne relayée par « vox populi » est réapparue : les places sont trop chères à Béziers, le prix d’appel surtout est prohibitif (37€). 

Les points positifs ont été les trois novilladas et le remplissage du tendido jeune. Voilà un exemple d’initiative à exploiter, les présidents ne faisant que relayer ce que disent les membres de leurs clubs, et les exemples de villes comme Arles et Nîmes. 

Les journées taurines se dérouleront du jeudi 26 au dimanche 29 Octobre, dates au cours desquelles il vous sera possible de refaire le monde et la féria !

Pour la fédération, le président : Tierry Girard

Iván Fandiño était né à Orduña (Vizcaya) le 29 septembre 1980.

Joueur de pelote dans sa jeunesse, il choisit ensuite d’endosser le costume de lumières avec lequel il défila pour la première fois le 16 août 1999 à Llodio (Alava) avant de faire ses armes dans les pueblos du Levante et d’Andalousie.

C’est à Orduña qu’il se présenta en piquée le 2 juin 2002 aux côtés de Julien Lescarret et d’Iker Javier Lara face à des utreros de Javier Perez Tabernero (trois oreilles).

Peu de temps après il rencontrait Nestor Garcia qui allait devenir son apoderado. C’est ensemble qu’ils préparèrent la présentation à Madrid, laquelle eut lieu le 12 septembre 2004 face à des novillos de Navalrosal, en compagnie de Manuel Barea El Arqueño et du colombien Héctor José (oreille).

Vint l’alternative à Bilbao le 25 août 2005, El Juli lui cédant le toro “Afrodisiaco” d’El Ventorillo en présence de Salvador Vega. Il confirma à Las Ventas le 12 mai 2007 des mains d’Antonio Ferrera face au toro « Catalan » de La Dehesilla, Morenito de Aranda officiant comme témoin. Sa bonne prestation lui valut de revenir deux fois à Madrid par la suite.

Le 1er mai 2010, il coupe sa première oreille (d’un Guardiola Fantoni) à Las Ventas et la même année se présente à Séville, Pamplona et Zaragoza devant des devises réputées difficiles (respectivement Palha, Dolores Aguirre et Partido de Resina). Blessé à Bilbao par un Puerto de San Lorenzo cette même année, il consolidera son cartel lors de la temporada suivante grâce aux quatre oreilles obtenues à Madrid lors de ses trois comparutions. D’autres succès suivirent, malgré une interruption d’un mois due à une blessure subie à Malaga.

En 2012 il ouvre la Puerta Grande de Valencia après y avoir combattu des Fuente Ymbro, puis enchaine les triomphes à Séville, Madrid, Pamplona (Puerta Grande), Bilbao et Valencia (encerronas), mais aussi en France où il est déclaré meilleur matador de la temporada dans le sud-ouest. La Radio Nacional de España en fera aussi son triomphateur en lui décernant son Oreille d’Or.

Ecarté de Séville en 2013, il coupe une oreille à Castellon et à Valencia, puis se fait blesser à Madrid par un toro de Parladé lors du premier de ses trois contrats. Il recevra cependant le prix de la meilleure faena de la San Isidro. Il reprend l’épée un mois après à Soria, puis enchaine les succès à Pamplona (triomphateur du cycle), Mont de Marsan, Bayonne (encerrona avec des Fuente Ymbro), Dax, Arles, Santander, Caceres, Salamanca, Burgos, Palencia, Cuenca, Almería, Ciudad Real et Zaragoza. Pour la seconde année consécutive, il sera déclaré meilleur matador de la temporada dans le sud-ouest de la France, et recevra sa seconde Oreille d’Or de la RNE.

En 2014, il sort a hombros de Las Ventas le 13 mai après avoir coupé une oreille à chacun de ses deux toros de Parladé, tuant le second sans utiliser sa muleta.Il confirme ses bonnes dispositions lors de la Beneficiencia (oreille), à Pamplona (triomphateur du cycle), Mont de Marsan (trois oreilles des La Quinta), Bayonne (deux Puerta Grande), Alicante, Valladolid, Linares (Trophée Manolete), Huelva, Vitoria, Valencia, El Puerto de Santa María, Ciudad Real, Pontevedra, Soria, Palencia, Coruña et Guadalajara (encerrona avec des Jandilla, cinq oreilles).

En 2015, il s’enferme avec six toros de ganaderias toristas, mais le bétail n’est pas à la hauteur et Fandiño en retrait. Le moral du torero de Orduña en prendra un coup et il semble avoir perdu le sitio, malgré un triomphe à Mont de Marsan. Cette temporada restera comme l’une des moins abouties du garçon.

Il refait cependant surface l’année suivante et retrouve ses marques. Ce sera hélas sa dernière temporada complète avant que « Provechito » de Baltasar Iban lui ôte la vie en ce funeste 17 juin 2017 à Aire sur l’Adour.

Iván Fandiño avait 36 ans, il était marié et père d’une petite fille de deux ans. Que sa famille et ses proches trouvent ici l’expression de nos plus sincères condoléances.

 

(Source "Toro Bravo").

Hommage des toreros à Iván Fandiño . . .

cliquez sur l'image.

Le sculpteur basque Jesús Lizaso a présenté le 16 janvier à Bilbao une ébauche de la sculpture qui sera placée sur l’esplanade de la plaza de toros de Vista Alegre pour rendre hommage à Ivan Fandiño.

Le mundillo taurin de Bilbao (la Junta, la Casa Chopera et tous les clubs et peñas de Bizkaia) très impliqué dans ce projet lui a réservé un accueil favorable.

L’histoire d’Iván Fandiño est celle de l’aventure du dépassement, celle d’un torero que les poètes n’ont pas encensé mais dont les historiens parleront longtemps. Vivant et mort. Parce que Fandiño est une légende dont la soif de liberté dépassait tout instinct de sur vie. 
Ce 17 juin, il a rencontré le destin que tant de fois il avait semblé rechercher. En son nom et en celui de la vérité, il a mené, avec Néstor García, une carrière faite de sang, de sourires et de larmes. Leur union n’est pas seulement celle d’un matador et d’un apoderado, c’est celle de deux hommes qui se sont faits eux-mêmes, partis des racines les plus humbles, et qui ont réussi à faire trembler le système archaïque de la Fiesta.

Néstor, l’autre « moi » de Fandiño, écrit sur un destin qui va bien au-delà de la simple histoire d’un torero :

c’est l’histoire d’un héros, d’une alliance sans faille dans la fraternité et la loyauté. Ce livre, dans lequel sont révélés les secrets les plus nobles mais aussi les plus sombres du monde taurin, ne laissera personne indifférent. 
Vous avez devant vous l’histoire d’un mythe qui a vécu comme il est mort et qui est mort comme il a vécu : en cherchant la liberté.

La couverture peut ne pas être définitive - Données fournies sous réserve de modifications :
Format: 16x24 cm, parution prévisionnelle : 16/04/2018
ISBN: 9782758805434

Communiqué de l'UVTF et de l'AFCT . . .
Suite au décès d'Iván fandiño dans les arènes de Aire sur l'Adour, l'UVTF et l'AFCT déclarent :

cliquez sur l'image pour consulter le communiqué dans son intégralité

Cliquez sur l'image pour consulter la décision de l'assemblée plenière du CSA.
Comment France-Inter va-t-elle réparer ses "obligations en matière de dignité de la personne humaine" ?

Honte à Frédéric Fromet . . .

La mort tragique d'Yvan Fandino a frappé de stupeur l'Aficion qui lui a rendu un immense hommage. Que des personnes n'aiment pas la Tauromachie ne pose en soi pas de problème. Mais entendre sur une radio nationale, France Inter, Frederic Fromet chanter sur la mort du Maestro durant plus de deux minutes avec rires à l'appui et applaudissements des participants à l'émission « si tu écoutes, j'annule tout » ne peux que me révolter…

Pour que vous puissiez en juger par vous même cliquez sur le lien ci-dessous :

https://www.franceinter.fr/emissions/la-chanson-de-frederic-fromet/la-chanson-de-frederic-fromet-23-juin-2017

Ce type (il ne mérite pas d'autre qualificatif à mes yeux) va très certainement nous servir à l'avenir des chansons sur les bourreaux qui oeuvrent dans les abattoirs pour gagner leur croûte et pouvoir subvenir aux besoins de leurs familles ou sur nos paysans éleveurs de bovins qui les nourrissent pour mieux les tuer ensuite.

Monsieur Francis Cabrel, lui je l'appelle Monsieur, avait en son temps donné son avis sur la corrida avec tac et talent.

 

Réponse du médiateur de Radio France à un de nos membres :

Madame, Monsieur,

J’ai pris connaissance du courriel dans lequel vous vous indignez de la chanson de Frédéric Fromet sur la mort du toréro Iván Fandiño. Je comprends tout à fait l’émotion qu’elle a pu susciter et je voudrais vous assurer qu’il ne s’agit pas dans cette chronique de se réjouir de la mort d’un homme. En effet cette chronique s’intègre dans une émission satirique dont l’humour noir est le ressort principal. Elle est par nature caricaturale, parodique, outrancière et c’est la loi du genre. Cette liberté de ton est une protection traditionnellement offerte à l’expression humoristique. Dans sa chanson Frédéric Fromet prend en effet clairement le parti des antis corridas mais le caractère clivant de son propos reflète aussi la fracture immense au sein de la société française que provoque la tauromachie. Par ailleurs je tiens à contester qu’il y ait eu un quelconque appel à la violence ou à la discrimination en la circonstance, précisément en raison du caractère dénué de sérieux de cette « chanson ». Par ce courriel je voudrais aussi exprimer toute ma compassion à l’égard de la famille d’Iván Fandiño, sa femme, son fils, ses parents. Laurence Bloch. Directrice de France Inter.

 

Stéphane Guillon devrait postuler à France Inter afin d'être assuré de ne pas se faire virer quoiqu'il puisse dire. 

Si vous aussi, trouvez que cette réponse est inconvenante, faites le savoir, comme moi, au médiateur de Radio France en cliquant sur le lien ci-dessous :

http://mediateur.radiofrance.fr/contact/mediateur/

Á propos des présidences

        Il y a toujours matière à réflexion quand on écoute les propos qui sont tenus dans les gradins de toutes les tribunes du monde. Il y a toujours un bon voisin pour vous interpeler ou pour vous donner son avis sur tout sujet touchant à notre passion commune. 

Ainsi dimanche en huit à Alès mon compagnon de banquette s'est-il exprimé sur les conditions d'attribution des trophées par les présidences. Convenez combien ce thème a fait l'actualité en cette Pentecôte 2017 de Vic Fezensac à Nîmes et que tout un chacun peut légitimement livrer sa propre opinion !

        Lui, aficionado de verdad et aimant les vrais taureaux m'a confié - les Valverde qui évoluaient sur la piste du Temperas en sont les témoins - avoir évolué dans son appréciation personnelle. Il m'a dit avoir été longtemps très exigeant au regard du respect du règlement taurin municipal et de la qualité des prestations réalisées y compris dans les arènes de troisième catégorie où il est de tradition de considérer – à tort selon moi - que le niveau d'exigence doit y être moins élevé. Il a depuis mesuré l'injustice que cela crée pour les valeureux qui affrontent des adversaires encastés par rapport aux figures qui se présentent devant un bétail moins imprévisible et moins violent très souvent choisi par eux dans les arènes de première catégorie. Un même trophée n'a donc pas la même valeur encore moins le même poids pour la carrière des toreros. Depuis il a adopté une attitude plus compréhensible vis à vis des gladiateurs abonnés aux aurochs vicieux et encornés sans déroger toutefois au respect de l'éthique.

       Comment lui donner tort ! Bien sûr il devrait y avoir une pondération tenant compte de plusieurs facteurs dont, entre autres, la qualité de l'adversaire et l'engagement et cela quelle que soit la réputation de l'arène. Mais il y a très, très loin de la coupe aux lèvres. 

 

       En espérant des jours favorables à une réécriture du règlement le Corps des Présidents et Alguazils de Corridas souhaite réfléchir à la définition de critères qui pourraient être communs à toutes les places taurines; « vaste programme » aurait dit le Général ! En attendant le résultat de ce futur travail, il met la dernière main à un document intitulé le Président répond à vos questions destiné au public et qui sera présenté très prochainement à l'Assemblée Générale de l'Union des Villes Taurines de France. Dans un langage accessible à tous il explique ce qui fonde les décisions incombant à la Présidence et n'est pas toujours connu. C'est un modeste mais utile premier pas vers une meilleure compréhension du déroulement des corridas, c'est aussi participer à la transmission de nos connaissances. Mais ne nous leurrons pas, il y aura toujours le facteur humain et les conditions particulières qui nourriront les tertulias d'après match ! 

Nous en reparlerons...

Viva la fiesta brava ! ! !

Cliquez sur l'image.

Après Francis Wolff, Zocato et Simon Casas, cette quatrième édition donnait la parole à Eric Dupond-Moretti, célèbre ténor du barreau, qui remplit son rôle en plaidant la cause de la Fiesta brava en se basant sur sa légalité.

De nombreuses personnalités de la politique et taurines assistaient à cette plaidoirie organisée par les Avocats du Diable.

Applications pour aficionados
Infos . . .

Clic sur les photos pour les agrandir.

Simon Casas Production vient de mettre sur les stores Androïd et iOS une application où on pourra trouver tout ce qu'il faut savoir sur les plazas gérées par l'empresa (Valencia, Alicante, Nîmes et Zaragoza et très certainement Madrid). Elle permet l'achat de places pour ces mêmes plazas.

Application mobile gratuite pour iOS et Androïd en langue espagnole. Avec elle vous rentrez dans l'univers de "Mundotoro", vous y trouverez toute l'information taurine qui vous manque.

Un jeudi soir au hasard . . .

Retrouvez avec l'application "Nimes en Féria" (iOS et Androïd) la liste des bodégas géolocalisées, les actualités de la féria, les bons plans, les galeries photos ainsi que les vidéos . . .

Curiosité

Musée taurin de Béziers

situé 7 rue Massol à Béziers il est ouvert du 1er Juillet au 10 Août et du 16 Août au 31 Août : 13h30 – 17h
fermeture Dimanche, Lundi et Mardi

Du 11 au 15 Août (pendant la Féria ) : ouverture de 13h30 – 17h tous les jours.

Insolite . . .

Un "Mozo de espadas" étourdi ou un don déguisé, toujours est-il qu'un "habit de lumière" figure parmi les objets trouvés de la capitale madrilène. 

article complet (en espagnol) ici  . . .

Photo mystère . . .

Si vous aussi avez eu la chance de réaliser des photos improbables ou coquaces faites nous les parvenir, cette place leur est dédiée.

J'envoie ma photo . . .

Photo pas mystère . . .

Vous aussi, avez une photo à partager . . .

Merci à Fabien pour cette jolie photo ;-) 

Gabin Rehabi . . .

Quelques clichés de Gabin pris lors de la féria Toros y Campo, un des tous meilleurs piqueros du moment . . .

Mozo de espadas de verdad . . .

Bel example de courage, Francisco Martínez novillero qui prit une dure cogida dans les arènes de Santa María de Querétaro fut secouru par son frère et mozo de espadas Felipe qui n'hésita pas  à faire barrière de son corps pour le protéger.

Toutes les images de la scène en cliquant sur le l'image.

Liens sites taurins

        (français)

Liens sites taurins

       (espagnols)

Partenaires

Didier Alric photographies
Moliendo café -
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L'Assemblée Générale de notre club s'est tenue le 5 janvier. Francois a remplacé au pied levé notre président absent ainsi que notre trésorier à qui nous souhaitons de nous revenir vite et en pleine forme ;-)

Ce n'était pas la grande foule mais le quorum était atteint selon la formule consacrée.

Le bilan moral et le bilan financier ont tous deux été votés et la soirée a pu se poursuivre avec un plat de circonstance, saucisse lentilles et galette des rois, pour débuter 2018.

Clic sur les photos pour les agrandir.

"Apéro tapas" 1er juin . . . 

Clic sur les photos pour les agrandir.

D'après vous, où se trouve cette arène singulière ?

Réponse ci-dessous, attention les cervicales . . .

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